La Vouivre
On ne saurait parler de la Franche-Comté sans parler de la vouivre. Son nom dérive du latin vipera, qui devint vivre, vouivre (ou wivre, qui se prononce pareil) et guivre (encore utilisé dans le language des blasons).
Ce terme désigne avant tout une créature serpentine non sans rappeler un dragon, parfois dotée d'un buste humain et/ou d'ailes, dont la caractéristique principale est son étincelante et inestimable escarboucle (du latin carbonculus, charbon ardent) fixée sur son front et qui lui sert à se diriger.
Lorsqu'elle va se baigner, ce qui lui arrive souvent, elle la dépose sur la berge. Si un audacieux la lui vole, elle sera aveugle et lui sera riche le restant de ses jours. Mais maleur à qui échouerait: il serait sauvagement mis à mort par la créature!
La vouivre est aussi connue comme gardienne de trésors souterrains, et nombreux sont ceux qui ont succombé aux fantasmes qu'elle inspire. Ne citons par exemple que Marcel Aymé, auteur Franc-Comtois qui en fit un roman.
Ce terme désigne avant tout une créature serpentine non sans rappeler un dragon, parfois dotée d'un buste humain et/ou d'ailes, dont la caractéristique principale est son étincelante et inestimable escarboucle (du latin carbonculus, charbon ardent) fixée sur son front et qui lui sert à se diriger.
Lorsqu'elle va se baigner, ce qui lui arrive souvent, elle la dépose sur la berge. Si un audacieux la lui vole, elle sera aveugle et lui sera riche le restant de ses jours. Mais maleur à qui échouerait: il serait sauvagement mis à mort par la créature!
La vouivre est aussi connue comme gardienne de trésors souterrains, et nombreux sont ceux qui ont succombé aux fantasmes qu'elle inspire. Ne citons par exemple que Marcel Aymé, auteur Franc-Comtois qui en fit un roman.
Dernière actualisation 03/01/2013