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Un facteur enfermé dans la Poste de Lure
Un postier a bien failli passer le réveillon enfermé dans un bureau de la Poste de Lure, en Haute-Saône. Il n'a dû son salut qu'à des petits papiers jetés par la fenêtre.
Vendredi, le bureau de Poste a fermé un peu plus tôt que d'habitude, réveillon du Nouvel An oblige. Les postiers étaient apparemment très pressés de quitter les lieux, puisqu'ils ont accidentellement enfermé un de leurs collègues!
Celui-ci, ne possédant pas de clé et ne sachant se servir des téléphones (qui fonctionnent avec un code), s'est retrouvé emprisonné pendant deux heures.
L'homme a d'abord tenté d'interpeller les passants, sans succès : pour des raisons de sécurité, les fenêtres ne s'ouvrent que partiellement. Il donc eu l'idée de lancer dans la rue des petits bouts de papier comportant des numéros de téléphone de personnes susceptibles de le délivrer.
Le premier numéro ainsi lancé était injoignable. De même que le deuxième. Le malheureux postier a alors décidé d'employer les grands moyens : il a demandé aux passants de joindre les gendarmes. Qui ont proposé de prévenir les pompiers afin d'évacuer le prisonnier par la grande échelle.
Heureusement, le facteur a pu finalement sortir des lieux de façon plus discrète : un de ses collègues a pu venir lui ouvrir les portes, deux heures après qu'elles aient été fermées un peu précipitamment.
R. Hingray
Vendredi, le bureau de Poste a fermé un peu plus tôt que d'habitude, réveillon du Nouvel An oblige. Les postiers étaient apparemment très pressés de quitter les lieux, puisqu'ils ont accidentellement enfermé un de leurs collègues!
Celui-ci, ne possédant pas de clé et ne sachant se servir des téléphones (qui fonctionnent avec un code), s'est retrouvé emprisonné pendant deux heures.
L'homme a d'abord tenté d'interpeller les passants, sans succès : pour des raisons de sécurité, les fenêtres ne s'ouvrent que partiellement. Il donc eu l'idée de lancer dans la rue des petits bouts de papier comportant des numéros de téléphone de personnes susceptibles de le délivrer.
Le premier numéro ainsi lancé était injoignable. De même que le deuxième. Le malheureux postier a alors décidé d'employer les grands moyens : il a demandé aux passants de joindre les gendarmes. Qui ont proposé de prévenir les pompiers afin d'évacuer le prisonnier par la grande échelle.
Heureusement, le facteur a pu finalement sortir des lieux de façon plus discrète : un de ses collègues a pu venir lui ouvrir les portes, deux heures après qu'elles aient été fermées un peu précipitamment.
R. Hingray
Publié le lundi 3 janvier 2011 à 15h10