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Besançon : Tu veux ma photo ?
Des personnes qui n'apprécient pas d'être devant l'objectif, on en connaît tous. Et si la tentation est alors souvent grande de vouloir les traquer à la moindre occasion par pure taquinerie, il convient de rester très prudent ! Car pour moins que ça, il arrive parfois qu'un iconomécanophobe réagisse au quart de tour… comme hier en début d'après-midi à Besançon, où un photographe attendant l'arrivée du tram près du pont de la République a eu affaire à un homme qui pensait (à tort) avoir été "victime" d'une série de clichés… et aura pour cela eu l'idée en retour de refaire à sa manière le portrait de l'auteur des prises de vues supposées.
Aussitôt rejoint par ce quadragénaire irascible, le détenteur de l'appareil indésirable recevait en effet un violent coup de poing à la tempe dont il se relevait groggy… mais sans avoir perdu de vue son agresseur, parti se planquer derrière des buissons, sur la digue servant d'embarcadère aux bateaux-mouches.
Dès lors dénoncé aux autorités, il était très vite débusqué par la police, cette autre source de crainte qui cette fois le poussait à plonger dans le canal pour tenter d'échapper à son interpellation. En vain.
Repêché au bout de quelques minutes, cet habitué des faits de violence et autres séjours en hôpitaux psychiatriques était ainsi conduit et auditionné au commissariat… d'où il sera ressorti libre comme l'air, dans l'attente d'une convocation ultérieure devant la justice.
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Aussitôt rejoint par ce quadragénaire irascible, le détenteur de l'appareil indésirable recevait en effet un violent coup de poing à la tempe dont il se relevait groggy… mais sans avoir perdu de vue son agresseur, parti se planquer derrière des buissons, sur la digue servant d'embarcadère aux bateaux-mouches.
Dès lors dénoncé aux autorités, il était très vite débusqué par la police, cette autre source de crainte qui cette fois le poussait à plonger dans le canal pour tenter d'échapper à son interpellation. En vain.
Repêché au bout de quelques minutes, cet habitué des faits de violence et autres séjours en hôpitaux psychiatriques était ainsi conduit et auditionné au commissariat… d'où il sera ressorti libre comme l'air, dans l'attente d'une convocation ultérieure devant la justice.
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Publié le lundi 6 octobre 2014 à 14h12