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Vesoul : Tenace et rancunier
Se voir refuser l'accès à une discothèque pour délit de sale gueule est une chose discutable. Se voir refuser l'accès à une discothèque pour comportement inadapté l'est beaucoup moins. Et c'est justement cette subtile nuance qu'un quadragénaire Vésulien en état d'ébriété aura bien eu du mal à saisir ce dimanche vers 4h du matin, en se faisant refouler d'un complexe nocturne de Noidans-lès-Vesoul… par deux fois.
Frustré de ne pouvoir cuver son vin sur le dancefloor, l'homme, déjà éconduit une première fois avec l'aide des forces de l'ordre, se sera en effet représenté devant les portes de l'établissement peu de temps après… mais cette fois-ci pour y mettre le feu avec un jerricane d'essence.
Heureusement vite maîtrisé par les sapeurs-pompiers de Vesoul (alors que la fête continuait à battre son plein à l'intérieur de l'établissement comme si de rien n'était), le début d'incendie n'aura pas plus permis à l'individu de se faire une place au chaud sous les stroboscopes qu'il ne l'aura conduit en cellule de dégrisement, pour une soirée VIP au commissariat de police. Ce qui n'avait par ailleurs rien d'une première.
Déjà connu pour ses récurrents dérapages incontrôlés sur fond d'alcool, le fêtard se dira bien incapable d'expliquer son geste au cours de sa garde à vue. Remis en liberté hier dans l'après-midi, il devrait encore pouvoir goûter à quelques soirées endiablées avant d'être convoqué devant la justice...
C.R
Frustré de ne pouvoir cuver son vin sur le dancefloor, l'homme, déjà éconduit une première fois avec l'aide des forces de l'ordre, se sera en effet représenté devant les portes de l'établissement peu de temps après… mais cette fois-ci pour y mettre le feu avec un jerricane d'essence.
Heureusement vite maîtrisé par les sapeurs-pompiers de Vesoul (alors que la fête continuait à battre son plein à l'intérieur de l'établissement comme si de rien n'était), le début d'incendie n'aura pas plus permis à l'individu de se faire une place au chaud sous les stroboscopes qu'il ne l'aura conduit en cellule de dégrisement, pour une soirée VIP au commissariat de police. Ce qui n'avait par ailleurs rien d'une première.
Déjà connu pour ses récurrents dérapages incontrôlés sur fond d'alcool, le fêtard se dira bien incapable d'expliquer son geste au cours de sa garde à vue. Remis en liberté hier dans l'après-midi, il devrait encore pouvoir goûter à quelques soirées endiablées avant d'être convoqué devant la justice...
C.R
Publié le lundi 6 mai 2013 à 13h49