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Planoise : ce havre de paix à Besançon
Le quartier bisontin de Planoise est plus cité pour ses faits divers que pour sa qualité de vie. Pourtant, il n'en a pas toujours été ainsi.
En 1968, les premiers immeubles sortent de terre, là où il n'existait que quelques champs. Ce nouveau quartier s'appelle Planoise et ses premiers habitants sont enchantés.
Les archives de l'INA et France 3 nous permettent de revivre ce temps oublié.
Pour les locataires, le plus grand souci c'est la boue. « Les enfants en rapportent trois fois par jour » explique une habitante.
Les appartements sont bien conçus et spacieux – pour l'époque. Mieux, les loyers sont inférieurs à la moyenne de Besançon et une école ouvrira pour la rentrée de septembre 1968.
Seul problème : il n'y a pas encore de commerce et les habitants ne sont pas tous équipés avec une voiture.
Heureusement, en 1968 le boulanger et l'épicier viennent livrer les habitants directement chez eux !
Quant au gardien, il est déjà débordé. Un petite phrase sonne comme un avant-goût des années à venir puisque l'homme explique qu'il y a un manque de discipline chez les nouveaux arrivant… Car ils pendent leur linge aux fenêtres de l'immeuble.
Bref, c'était le bon vieux temps.
En 1968, les premiers immeubles sortent de terre, là où il n'existait que quelques champs. Ce nouveau quartier s'appelle Planoise et ses premiers habitants sont enchantés.
Les archives de l'INA et France 3 nous permettent de revivre ce temps oublié.
Pour les locataires, le plus grand souci c'est la boue. « Les enfants en rapportent trois fois par jour » explique une habitante.
Les appartements sont bien conçus et spacieux – pour l'époque. Mieux, les loyers sont inférieurs à la moyenne de Besançon et une école ouvrira pour la rentrée de septembre 1968.
Seul problème : il n'y a pas encore de commerce et les habitants ne sont pas tous équipés avec une voiture.
Heureusement, en 1968 le boulanger et l'épicier viennent livrer les habitants directement chez eux !
Quant au gardien, il est déjà débordé. Un petite phrase sonne comme un avant-goût des années à venir puisque l'homme explique qu'il y a un manque de discipline chez les nouveaux arrivant… Car ils pendent leur linge aux fenêtres de l'immeuble.
Bref, c'était le bon vieux temps.
Publié le vendredi 29 juin 2018 à 08h39