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Nouvelles violences urbaines à Besançon ce week-end
Une fois de plus, le quartier de Planoise - à Besançon - a connu un week-end compliqué. C'est dans la nuit de vendredi à samedi que les violences ont débuté lorsque quelques jeunes du quartier sont venus caillasser une voiture de police venue constater un cambriolage.
Mais, de quelques individus cagoulés on est passé rapidement à un groupe composé d'une trentaine de délinquants prêt à en découdre avec les forces de l'ordre.
Des cailloux, bien sûr, mais aussi des pétards et des cocktails Molotov auraient été lancé.
Finalement, c'est le Groupe départemental d'intervention (GDI) qui a été appelé pour maîtriser le groupe de fous furieux. Les dégâts sont heureusement limités puisqu'une voiture et quelques poubelles ont été incendiées.
Si la police a réussi à interpeller quelques jeunes mineurs, ceux-ci ont été libérés samedi après-midi faute de preuve. L'enquête est toujours en cours pour identifier les fautifs.
Jean-Louis Fousseret, le maire de Besançon joint par l'Est Républicain, qualifie ces faits comme étant “insupportables” mais analyse que le problème est “un manque d'éducation” et qu'il réfléchit “à une manière de responsabiliser les familles qui laissent leurs enfants traîner aussi tard dans les rues, sans les surveiller”.
Mais, de quelques individus cagoulés on est passé rapidement à un groupe composé d'une trentaine de délinquants prêt à en découdre avec les forces de l'ordre.
Des cailloux, bien sûr, mais aussi des pétards et des cocktails Molotov auraient été lancé.
Finalement, c'est le Groupe départemental d'intervention (GDI) qui a été appelé pour maîtriser le groupe de fous furieux. Les dégâts sont heureusement limités puisqu'une voiture et quelques poubelles ont été incendiées.
Si la police a réussi à interpeller quelques jeunes mineurs, ceux-ci ont été libérés samedi après-midi faute de preuve. L'enquête est toujours en cours pour identifier les fautifs.
Jean-Louis Fousseret, le maire de Besançon joint par l'Est Républicain, qualifie ces faits comme étant “insupportables” mais analyse que le problème est “un manque d'éducation” et qu'il réfléchit “à une manière de responsabiliser les familles qui laissent leurs enfants traîner aussi tard dans les rues, sans les surveiller”.
Publié le lundi 20 novembre 2017 à 09h29