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La fin du tram de Besançon : les espoirs du MFC
Alors que les travaux préparatoires au tramway de Besançon ont commencé depuis quelques mois, les partis opposés à ce projet ne baissent pas les bras.
Le Mouvement Franche-Comté (MFC) a ainsi reprit espoir la semaine dernière en apprenant que "le tribunal administratif avait ordonné au maire de Nîmes de stopper son projet de tram et de reboucher les trous déjà faits".
L'annulation du tram nîmois a eu lieu après qu'une association de quartier ait signalé que l'enquête publique n'avait pas pris en compte les "effets de ces travaux sur la saturation supplémentaire du trafic urbain, la pollution atmosphérique, la commodité du voisinage et la santé".
Or, le MFC adresse les même reproches au tramway bisontin.
Ce mouvement politique a donc l'intention de suivre l'exemple de Nîmes, afin de tenter de faire "suspendre les travaux préparatoire à l'arrivée du tram tant que la Déclaration d'Utilité Publique n'a pas été signée".
A Nîmes, la fin prématurée des travaux coûtera tout de même un million d'euros. Une broutille face au tramway de Besançon qui devrait s'élever à plus de 250 millions d'euros.
R. Hingray
Le Mouvement Franche-Comté (MFC) a ainsi reprit espoir la semaine dernière en apprenant que "le tribunal administratif avait ordonné au maire de Nîmes de stopper son projet de tram et de reboucher les trous déjà faits".
L'annulation du tram nîmois a eu lieu après qu'une association de quartier ait signalé que l'enquête publique n'avait pas pris en compte les "effets de ces travaux sur la saturation supplémentaire du trafic urbain, la pollution atmosphérique, la commodité du voisinage et la santé".
Or, le MFC adresse les même reproches au tramway bisontin.
Ce mouvement politique a donc l'intention de suivre l'exemple de Nîmes, afin de tenter de faire "suspendre les travaux préparatoire à l'arrivée du tram tant que la Déclaration d'Utilité Publique n'a pas été signée".
A Nîmes, la fin prématurée des travaux coûtera tout de même un million d'euros. Une broutille face au tramway de Besançon qui devrait s'élever à plus de 250 millions d'euros.
R. Hingray
Publié le lundi 4 avril 2011 à 16h15