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Jean-Louis Fousseret ne se repose pas
Depuis quelques heures, le dernier conseil municipal de Besançon fait couler beaucoup d'encre.
Cette semaine, le maire de Besançon a plus que jamais semblé en perte de vitesse face aux autres élus.
En défendant la politique du gouvernement (LREM), le maire de Besançon semble se brouiller petit à petit avec ses adjoints de gauche, notamment ses anciens camarades toujours affiliés au Parti Socialiste.
Pour certains élus, il est impossible de défendre les actions du gouvernement d'Emmanuel Macron tout en appliquant le programme pour lequel M. Fousseret a été élu.
Car la ville de Besançon ne peut plus augmenter ses dépenses de fonctionnement de plus de 1,2 % par an (en tenant compte de l'inflation).
Habituée aux investissements coûteux, c'est toute une formule de gestion qui est remise en cause par cette circulaire dans la capitale comtoise.
Le risque politique pour la ville serait l'isolement du maire qui pourrait rapidement se retrouver en sandwich entre les Verts, le PS et le PCF d'un côté et toute la droite de l'autre...
Mais le capitaine Fousseret tient bon et le « bateau Besançon » se doit d'arriver à bon port. Car il reste encore deux ans de mandat. Deux années que le maire de la ville compte bien mener à son terme, la démission étant pour lui inenvisageable.
Monsieur le maire se montre pour le moment courageux et pourra plus tard justifier un bilan parlant : tramway, gare TGV, développement du pôle santé & Temis, datacenter, etc.
Après, il aura tout le temps de former la future génération politicienne de ce pays en prenant éventuellement la présidence de l'Institut de formation de La République en Marche.
Cette semaine, le maire de Besançon a plus que jamais semblé en perte de vitesse face aux autres élus.
En défendant la politique du gouvernement (LREM), le maire de Besançon semble se brouiller petit à petit avec ses adjoints de gauche, notamment ses anciens camarades toujours affiliés au Parti Socialiste.
Pour certains élus, il est impossible de défendre les actions du gouvernement d'Emmanuel Macron tout en appliquant le programme pour lequel M. Fousseret a été élu.
Car la ville de Besançon ne peut plus augmenter ses dépenses de fonctionnement de plus de 1,2 % par an (en tenant compte de l'inflation).
Habituée aux investissements coûteux, c'est toute une formule de gestion qui est remise en cause par cette circulaire dans la capitale comtoise.
Le risque politique pour la ville serait l'isolement du maire qui pourrait rapidement se retrouver en sandwich entre les Verts, le PS et le PCF d'un côté et toute la droite de l'autre...
Mais le capitaine Fousseret tient bon et le « bateau Besançon » se doit d'arriver à bon port. Car il reste encore deux ans de mandat. Deux années que le maire de la ville compte bien mener à son terme, la démission étant pour lui inenvisageable.
Monsieur le maire se montre pour le moment courageux et pourra plus tard justifier un bilan parlant : tramway, gare TGV, développement du pôle santé & Temis, datacenter, etc.
Après, il aura tout le temps de former la future génération politicienne de ce pays en prenant éventuellement la présidence de l'Institut de formation de La République en Marche.
Publié le vendredi 25 mai 2018 à 09h22