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Incendie à la prison de Besançon
Un incendie s'est produit vendredi matin à la maison d'arrêt de Besançon. Seuls les bâtiments administratifs ont été touchés.
Les flammes se sont déclarées en fin de matinée, dans une petite chambre utilisée la nuit par les gardiens. La pièce contenait deux matelas en mousse qui, sous l'effet de la chaleur, ont dégagé une épaisse fumée asphyxiante dans le reste du bâtiment.
Une quarantaine de membres du personnel a été évacué par les pompiers pour des raisons de sécurité.
Si les flammes ne sont pas sorties de la chambre, la fumée en revanche a considérablement noirci les locaux administratifs. Des travaux de remise en l'état devront être menés.
Cet incendie n'a toutefois fait que des dégâts matériels.
Les bâtiments réservés aux détenus n'ont pas été touchés par la fumée. Aucune procédure spéciale n'a donc été mise en place à l'intention des prisonniers.
Seul l'un d'entre eux aura subi les conséquences de cet incendie : l'accès à la prison ayant été bloqué pendant l'intervention des pompiers, le transfert d'un détenu a été retardé. L'homme a donc dû patienter plusieurs heures dans un fourgon de police garé dans la rue.
R. Hingray
Les flammes se sont déclarées en fin de matinée, dans une petite chambre utilisée la nuit par les gardiens. La pièce contenait deux matelas en mousse qui, sous l'effet de la chaleur, ont dégagé une épaisse fumée asphyxiante dans le reste du bâtiment.
Une quarantaine de membres du personnel a été évacué par les pompiers pour des raisons de sécurité.
Si les flammes ne sont pas sorties de la chambre, la fumée en revanche a considérablement noirci les locaux administratifs. Des travaux de remise en l'état devront être menés.
Cet incendie n'a toutefois fait que des dégâts matériels.
Les bâtiments réservés aux détenus n'ont pas été touchés par la fumée. Aucune procédure spéciale n'a donc été mise en place à l'intention des prisonniers.
Seul l'un d'entre eux aura subi les conséquences de cet incendie : l'accès à la prison ayant été bloqué pendant l'intervention des pompiers, le transfert d'un détenu a été retardé. L'homme a donc dû patienter plusieurs heures dans un fourgon de police garé dans la rue.
R. Hingray
Publié le lundi 24 octobre 2011 à 14h04