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Vaux-et-Chantegrue (25) : Humeur massacrante
Sous le coup de la colère, combien sommes-nous à passer nos nerfs sur tout ce qui peut bien nous tomber sous la main ? Une porte à claquer, un mur à frapper (de la tête ou du pied selon les cas)… à chacun sa préférence ! Et aussi stupide soit cette tendance à se défouler de la sorte sur d'innocents objets, vous conviendrez que cela vaut toujours mieux que de nourrir des envies de meurtre à l'égard de ses semblables…
Sans heureusement avoir été suivi d'un passage à l'acte, c'est ce à quoi aurait très bien pu céder vendredi en début d'après-midi un jeune homme de 31 ans, surpris à déambuler hache à la main dans la petite commune de Vaux-et-Chantegrue, suite à… une malheureuse dispute familiale.
Passablement énervé par cette engueulade, l'individu aura en effet été d'avis de passer chez ses grands-parents pour se munir du dangereux outil qu'il aura ensuite brandi dans les rues du village aux environs de 13h30. Une menace prise au sérieux par les autorités qui obtenaient notamment du directeur de l'école que les enfants soient mis en sécurité dans l'établissement, en attendant que furie se passe.
Finalement interpellé sans heurt par les gendarmes, le trentenaire se sera docilement laissé conduire à l'hôpital, où seront vraisemblablement soignées des lésions autrement plus profondes que celles qu'il aurait pu infliger au premier venu.
C.R
Sans heureusement avoir été suivi d'un passage à l'acte, c'est ce à quoi aurait très bien pu céder vendredi en début d'après-midi un jeune homme de 31 ans, surpris à déambuler hache à la main dans la petite commune de Vaux-et-Chantegrue, suite à… une malheureuse dispute familiale.
Passablement énervé par cette engueulade, l'individu aura en effet été d'avis de passer chez ses grands-parents pour se munir du dangereux outil qu'il aura ensuite brandi dans les rues du village aux environs de 13h30. Une menace prise au sérieux par les autorités qui obtenaient notamment du directeur de l'école que les enfants soient mis en sécurité dans l'établissement, en attendant que furie se passe.
Finalement interpellé sans heurt par les gendarmes, le trentenaire se sera docilement laissé conduire à l'hôpital, où seront vraisemblablement soignées des lésions autrement plus profondes que celles qu'il aurait pu infliger au premier venu.
C.R
Publié le lundi 23 septembre 2013 à 13h14