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Disparitions félines
Depuis quelques mois, plusieurs chats ont disparu à Vesoul, rue du Docteur-Doillon. Lulu-Coeur, Channel ou encore Réglissette ne sont un jour pas rentrés de leur balade dans les rues vésuliennes, au grand dam de leur propriétaire.
Le plus vraisemblable est que les petits félins, si mignons et malins soient-ils, se sont fait écraser par des automobilistes pressés. Une hypothèse que réfutent cependant les propriétaires malheureux, qui attendent en vain l'improbable retour de leurs compagnons.
Six disparitions en un an, c'est en effet beaucoup, et un doute s'insinue peu à peu dans les esprits : et si les chats avaient été empoisonnés? Une idée qui fait son chemin, puisque les gendarmes eux-même se sont laissés convaincre et ont ouvert une enquête.
En attendant les conclusions de celle-ci, la psychose s'installe dans le quartier : qui est le voisin qui n'aime pas les chats au point de souhaiter leur mort? Chacun se dévisage, et sous les politesses d'usage percent des interrogations de moins en moins dissimulées : "est-ce vous qui avez tué mon chat? Ou peut-être vous?". Adieu relations de bon voisinage!
Quant aux matous encore vivants, ils sont surveillés de près par leurs maîtres. Ce qui ne les empêche pas de partir régulièrement en vadrouille : c'est qu'avec toutes ces disparitions, les souris et les rats musqués de la rue ont la belle vie!
Le plus vraisemblable est que les petits félins, si mignons et malins soient-ils, se sont fait écraser par des automobilistes pressés. Une hypothèse que réfutent cependant les propriétaires malheureux, qui attendent en vain l'improbable retour de leurs compagnons.
Six disparitions en un an, c'est en effet beaucoup, et un doute s'insinue peu à peu dans les esprits : et si les chats avaient été empoisonnés? Une idée qui fait son chemin, puisque les gendarmes eux-même se sont laissés convaincre et ont ouvert une enquête.
En attendant les conclusions de celle-ci, la psychose s'installe dans le quartier : qui est le voisin qui n'aime pas les chats au point de souhaiter leur mort? Chacun se dévisage, et sous les politesses d'usage percent des interrogations de moins en moins dissimulées : "est-ce vous qui avez tué mon chat? Ou peut-être vous?". Adieu relations de bon voisinage!
Quant aux matous encore vivants, ils sont surveillés de près par leurs maîtres. Ce qui ne les empêche pas de partir régulièrement en vadrouille : c'est qu'avec toutes ces disparitions, les souris et les rats musqués de la rue ont la belle vie!
Publié le mercredi 15 juillet 2009 à 12h09